Mélenchon, Cohn Bendit, deux hommes semblables.
L’un monte, l’autre est monté et redescendu : ce sont deux hommes qui plaisent par le verbe, la gouaille à un moment où ils disent fort ce que certains pensent avoir en tête.
Ils auraient pu être acteurs ou chansonniers comme on disait autrefois. Ce ne sont pas des hommes d’Etat, ils ne le souhaitent ni l’un ni l’autre.
Entraîner la foule : oui, gérer surtout pas.
Un village, une ville, un pays c’ est pourtant et avant tout affaire de gestion et de perspectives : il faut être un bon gestionnaire avec une vision d’ avenir pour l’ intérêt collectif. Ceci est vrai de la plus petite à la plus grande communauté.
A quoi sert de faire rêver sans se soucier du réalisme ?
à rien sauf à désespérer un peu plus ceux qui auront cru que » tout est possible » que demain on rase gratis, que la Révolution est en marche, que les frontières peuvent être fermées, que la finance est responsable de toutes nos erreurs.
A quand l’exigence de la VÉRITÉ ?